Angelina Jolie révèle pourquoi elle a vendu à la presse les photos de ses enfants Knox et Vivienne
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- Publié le mercredi 12 février 2025 06:36
- Écrit par Elle
En 2008, Angelina Jolie et Brad Pitt ont vendu à la presse les toutes premières photos de leurs jumeaux Knox et Vivienne.Angelina Jolie enchaîne les tournées promotionnelles. Actuellement à l’affiche du biopic de Pablo Larraín, « Maria », l’actrice américaine multiplie apparitions publiques et autres prises de parole. L’occasion pour elle d’évoquer sa carrière dans le septième art, mais aussi de livrer quelques confidences sur sa vie personnelle. Et plus particulièrement sur ses six enfants : Maddox, Zahara, Pax, Shiloh et les jumeaux Knox et Vivienne. Il y a quelques jours, alors qu’elle était au Festival International du Film de Santa Barbara, la comédienne est d’ailleurs revenue sur la naissance de ses cadets, en 2008. En effet, cette année-là, elle et Brad Pitt avaient choisi de vendre les tout premiers clichés de leurs enfants à la presse. Interrogée sur le sujet lors du festival, Angelina Jolie a expliqué, relayée par le magazine « People » : « C’est une chose étrange à faire, mais c’était en quelque sorte la meilleure option, mais c’était aussi pour leur sécurité. Il y avait quelqu’un qui venait pour cela et c’était aussi une question de sécurité. » Elle poursuit : « C'était mieux de le contrôler dans un endroit sûr, d'une manière sûre. Et d'en faire quelque chose de bien, évidemment, si vous le pouvez. C'est beaucoup mieux. » À l’époque, l’actrice et Brad Pitt vendent les clichés à la presse people pour près de 15 millions de dollars, qu’ils ont ensuite reversé à diverses associations caritatives.
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source : Elle
"Du grand art" : noté 4,2 sur 5, c'est le meilleur film d'Angelina Jolie... et il lui a valu une nomination aux Oscars
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- Publié le mercredi 12 février 2025 06:33
- Écrit par Allo Ciné
Depuis le 5 février, Angelina Jolie est de retour dans les salles de cinéma françaises grâce à "Maria", biopic consacré aux derniers jours de la Callas. Mais savez-vous quel est le film le mieux noté de l'actrice sur AlloCiné ? Son dernier film à être sorti dans nos salles remontait à 2021 et Les Éternels de Marvel, qui marquait ses débuts (restés sans suite) dans le MCU. Un peu plus de trois ans plus tard, Angelina Jolie est de retour sur grand écran dans l'Hexagone, sous les traits de Maria Callas, célèbre cantatrice dont Pablo Larrain raconte les derniers jours.Mais savez-vous quel est, sur AlloCiné, le film le mieux noté dans la carrière de la comédienne, lauréate de l'Oscar de la Meilleure Actrice dans un Second Rôle en 2000, grâce à Une vie volée de James Mangold ? Indice : c'est celui qui lui a valu sa deuxième (et, à ce jour, dernière) nomination. Passé par la Compétition du Festival de Cannes en 2008, L'Échange offre donc à Angelina Jolie la meilleure moyenne de sa carrière, avec un très joli 4,2 sur 5, obtenu à partir de 23 623 notes*. Devant la caméra de Clint Eastwood, elle campe une femme qui, dans le Los Angeles de 1928, est confrontée à la disparition de son fils qui lui est rendu quelques mois plus tard. Mais elle est convaincue qu'il ne s'agit pas de lui.Sorti sur nos écrans le 12 novembre 2008, L'Échange a attiré 1 451 139 spectateurs, ce qui fait de lui le huitième plus gros succès de la carrière d'Angelina Jolie en France, devant Alexandre et derrière Salt.
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source : Allo Ciné
Maria : Angelina Jolie chante-t-elle vraiment dans le film sur la légende de l'opéra ?
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- Publié le lundi 10 février 2025 06:23
- Écrit par Allo Ciné
Sorti ce mercredi 5 février, "Maria" de Pablo Larrain revient sur les derniers jours de la Callas, interprétée par Angelina Jolie à l'écran. Mais est-ce bien elle qui assure les scènes de chant ? Après avoir transformé Natalie Portman en Jackie Kennedy puis Kristen Stewart en Lady Di, Pablo Larrain boucle sa trilogie sur les icônes féminines du XXè siècle en offrant à Angelina Jolie le rôle de Maria Callas, dans un long métrage qui revient sur les derniers jours de la cantatrice, qui reste aujourd'hui considérée comme la plus grande légende de l'Histoire de l'opéra.Comme dans les deux volets précédents de son triptyque, Pablo Larrain joue sur l'opposition entre l'image publique et la vie privée de la star qu'il suit, entre son présent au-dessus duquel plane l'ombre de la mort et son passé glorieux, sur scène. Des séquences dans lesquelles, forcément, la musique et le chant sont présents, à tel point que l'on se demande très vite s'il s'agit bien de la voix d'Angelina Jolie, ou de celle de Maria Callas.De passage à Paris en ce début d'année, le metteur en scène a répondu à cette interrogation par l'affirmative, avec une nuance : "Nous avons travaillé très dur sur cet aspect vocal", nous dit-il. "S'il s'agissait d'un film sur une chanteuse de pop ou de rock, nous aurions davantage pu tricher, et utiliser la technologie pour faire illusion, car cela fonctionnerait. Ce n'est pas possible avec l'opéra, qui est un exercice vocal impossible à imiter. Il faut être capable d'atteindre une tessiture vocale et se mettre au diapason au moment voulu." "La mélodie et la structure d'une pièce d'opéra sont très particulières et difficiles. Il faut beaucoup s'entraîner pour pouvoir la chanter, et il était important pouvoir de parvenir à quelque chose de crédible. Et je pense qu'Angelina y est parvenue grâce au processus de chant qu'elle a suivi, puis il y a eu une phase de mixage. Il n'est pas question d'intelligence artificielle ou d'un logiciel fou ici : une fois qu'elle a été capable de chanter, nous l'avons enregistrée, puis nous avons mixé sa voix avec celle de Maria Callas. La majeure partie de ce que vous entendez, c'est Maria Callas, mais il y a toujours un fragment d'Angelina."
"C'était également très bien de procéder de la sorte, car c'était le meilleur moyen pour elle d'apprendre à connaître le personnage et de le comprendre vraiment. Toujours par le biais de la musique." Dans le film sorti le 5 février dans nos salles, Pablo Larrain montre à quel point le chant est source de souffrance pour Maria Callas. Et l'entraînement suivi par Angelina Jolie lui a permis de ressentir la même chose : "Elle a également compris qu'il fallait une posture physique, qui affecterait sa manière marcher et de se déplacer." "Elle a compris que la façon dont une chanteuse d'opéra respire a des répercussions sur sa voix. Le fait qu'elle soit chanteuse a donc contaminé tout cela de manière positive. Et je pense que l'une des choses très intéressantes que nous avons faites, c'est que nous avons traité Angelina comme une chanteuse sur le plateau, et non comme une actrice. Il y avait toujours un piano avec nous, et un coach qui l'aidait à s'échauffer. Beaucoup de professionnels du chant étaient très présents sur le plateau." Ce qui l'a sans aucun doute aidée à se glisser dans la peau de la cantatrice, que l'on voit se mettre au pied dès qu'elle se lève le matin.
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source : Allo Ciné
Angelina Jolie romantique, Demi Moore sensuelle… Les plus beaux looks des Critics Choice Awards 2025
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- Publié le vendredi 7 février 2025 12:02
- Écrit par Gala
Ce vendredi 7 février, la 30e édition des Critics Choice Awards a vu défiler de nombreuses stars sur son tapis rouge. Parmi elles, Angelina Jolie, Demi Moore, Nicole Kidman, ou encore Ariana Grande ont ébloui le photocall. Après avoir été repoussée à deux reprises en raison des incendies de Los Angeles, la 30e édition des Critics Choice Awards a finalement ouvert la saison des récompenses ce vendredi 7 février. Un événement prestigieux qui décerne, chaque année, des prix pour les réalisations dans le domaine du cinéma et de la télévision. C’est une pluie de célébrités qui s’est rendue au Barker Hanger, à Santa Monica, en Californie pour assister à la cérémonie. Dès leur arrivée, de nombreuses stars ont ébloui le tapis rouge. Devant les photographes, Angelina Jolie était renversante dans une longue robe en dentelle couleur champagne. Une magnifique pièce composée d’un décolleté en V, de manches bouffantes et d’une taille empire, signée Elie Saab. Côté mise en beauté, l’actrice a opté pour un rouge à lèvres rouge vif assorti à ses ongles, laissant ses longs cheveux lâchés. De son côté, Demi Moore, qui a remporté le prix de la meilleure actrice, était vêtue d’une robe bustier bleu marine avec un décolleté plongeant et présentant des découpes au niveau de ses jambes, et épousant sa silhouette à la perfection. Une tenue signée Schiaparelli qu’elle portait avec une paire de chaussures à talons. Elle a également coiffé ses cheveux noirs en un chignon plaqué mettant en valeur ses boucles d’oreilles en diamant. Quant à Nicole Kidman, l’actrice de 57 ans, a choisi un tailleur-pantalon Saint Laurent, avec une cravate et une chemise à boutons. Un look lui permettant d’incarner son personnage dans le film Babygirl, actuellement au cinéma. D’autres stars ont fait sensation sur le tapis rouge. Zoe Saldana était vêtue d’une élégante robe rouge et noire Saint Laurent, composée d’un noeud dans le bas du dos. Elle est apparue au bras de son mari Marco Perego. La chanteuse et actrice Ariana Grande était sublime dans un look avant-gardiste, signé Dior. Son look comportait un corsage transparent et une jupe en forme de cage, avec des fleurs délicates suspendues à une superposition de dentelle. De leurs côtés, Lupita Nyong’o, Marianne Jean-Baptiste et Rachel Kondo ont porté des robes aux motifs floraux. Leighton Meester et son mari Adam Brody ont foulé le tapis ensemble, quelques semaines seulement après avoir perdu leur maison dans l’incendie de Pacific Palisades à Los Angeles. La comédienne portait une robe Dior dorée scintillante au corsage transparent, tandis que son époux était élégant dans un costume noir et blanc. Kate Hudson était splendide dans une robe noire sans manches au dos échancré.
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source : Gala
Dans « Maria » avec Angelina Jolie, ces trois scènes centrales sont bien tirées de la vie de la chanteuse
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- Publié le mercredi 5 février 2025 11:57
- Écrit par Huffington post
Le biopic sur Maria Callas réalisé par Pablo Larraín, en salles ce 5 février, retrace la dernière semaine de la vie de la Divina, en y insérant des flashbacks de son passé.Après Jackie Kennedy et Lady Di, le réalisateur chilien s’est penché sur une autre femme au destin exceptionnel : Maria Callas. Dans Maria avec Angelina Jolie, sorti ce mercredi 5 février dans les salles obscures, Pablo Larraín effleure la fragilité de la cantatrice par le biais de morceaux de sa vie, éparpillés au fil de ses rêveries éveillées.Le biopic avec Angelina Jolie se concentre sur la dernière semaine de la vie de la cantatrice. Lors de ces journées en apparence répétitives à travers un Paris enchanteur, Maria Callas perd l’esprit en raison notamment d’un cocktail de médicaments trop puissants qu’elle consomme sans aucune prescription.La chanteuse, interprétée par une Angelina Jolie au sommet de son art, a alors des visions d’un interlocuteur nommé Mandrax (comme le médicament) et joué par Kodi Smit-McPhee, à qui elle raconte des épisodes marquants de son passé, sous forme de diapositives. Trois évènements en particulier, relatés dans le biopic, méritent qu’on s’y arrête. Il y a tout d’abord, l’adolescence de la jeune Maria Kalogeropoulou. Le film de Pablo Larraín évoque à plusieurs reprises les années passées par la jeune femme en Grèce, après que sa mère Evangelia a décidé de quitter les États-Unis en 1937 avec ses filles Maria et Yakinthi. Lorsque la guerre éclate, Athènes résiste avant de se soumettre et de vivre plusieurs années d’occupation. Ce sont ces années qu’illustre le long-métrage.
On y voit la mère de famille monnayer les « talents » de Maria et Yakinthi auprès d’officiers. La jeune femme doit alors chanter en échange notamment de nourriture, tandis que sa sœur se prostitue. Un fait confirmé au Guardian par Lyndsy Spence l’autrice de la biographie de Maria Callas. Mais, comme le rappelait le Monde dans un article paru en 2023, Maria chantait non seulement pour des officiers ramenés par sa mère (qui était elle-même la maîtresse d’un colonel italien), mais aussi avec la troupe du théâtre Olympia qu’elle avait rejoint en 1940.Dans le film de Pablo Larraín, des violences sexuelles sont mentionnées par sa sœur qui lui confie qu’elle « s’occupait de certains officiers quand elle voyait sa petite sœur trop fatiguée », mais pas directement par Maria elle-même. Mais la diva, alors quinquagénaire, exprime pourtant souffrir encore d’un profond traumatisme hérité de cette période.Autre élément du passé de Maria Callas qui revient plusieurs fois dans le film, le couple Kennedy. La relation (véritable) de la chanteuse avec Aristote Onassis est présente en filigrane dans le long-métrage. Maria affirme que le fantôme de son amant décédé « la rejoint chaque nuit dans son lit » et qu’elle le voit à chaque coin de rue ou presque.Comme le montrent plusieurs flashbacks, c’est par l’entremise de l’homme d’affaires qu’elle rencontre le couple américain. Le film de Pablo Larraín évoque qu’elle aurait ainsi assisté à l’anniversaire du Président américain en 1962 lors duquel Marilyn Monroe a chanté.Le film la montre aussi en tête-à-tête au restaurant face au Président Kennedy, le prévenant que sa femme est tombée sous l’emprise d’Aristote Onassis. Pire, sur le lit de mort de ce dernier, elle aurait manqué de croiser l’ancienne première dame.
D’après les historiens, Maria Callas et John F. Kennedy se sont bien rencontrés, mais une seule fois, à l’occasion de ce fameux anniversaire en 1962 au cours duquel la diva avait, elle aussi, chanté sur la scène du Madison Square Garden à New York. La rivalité qui existait entre Maria Callas et Jackie Kennedy était, en revanche, avérée. Elle découlait précisément de leurs relations avec Aristote Onassis. Ce dernier a quitté Maria Callas en 1965 pour épouser Jackie Kennedy, veuve depuis 1962 alors qu’il la courtisait depuis plusieurs années. Aucune rencontre entre les deux femmes n’est cependant documentée.Le long-métrage met aussi en scène la Callas dans une volonté de renouer avec sa voix. Elle retrouve chaque jour en secret un pianiste dans un théâtre parisien pour y répéter des airs d’opéra et notamment la Habanera de Carmen. Un jour dans son salon, elle interprète Vissi d’arte de la Tosca face aux fenêtres ouvertes et aux passants médusés, et s’effondre.Il est avéré que durant les derniers mois de sa vie, Maria Callas effectuait régulièrement des sessions avec le pianiste et répétiteur Jeffrey Tate. La diva aurait succombé à un arrêt cardiaque, ce qui est évoqué dans le film. Mais l’origine de cet arrêt en revanche n’a jamais été confirmée. D’après le médecin incarné par Vincent Macaigne dans le film, c’est la consommation à outrance de médicaments qui aurait fragilisé ses organes et son cœur. Et la pratique du chant qui aurait aggravé son état. Il évoque notamment l’effet combiné des corticoïdes et des sédatifs.Maria Callas avait effectivement été diagnostiquée en 1975 de la dermatomyosite, une maladie auto-immune dégénérative atteignant les muscles de tout le corps. Mais le lien n’a jamais été établi de manière certaine entre ces médicaments et sa mort. Tout comme il n’existe aucune preuve que Maria Callas se soit éteinte en offrant aux passants cette toute dernière performance déchirante comme le rappelle Decider.Angelina Jolie réalise dans cette scène éblouissante, comme dans le reste du film, une performance spectaculaire. Une fin en apothéose pour honorer la Divina elle, s’est éteinte recluse et seule, à l’âge de 53 ans le 16 septembre 1977.
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source : Huffington post