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Plainte pour licenciement abusif : Brad et Angelina fixés ce mardi matin

      Le conseil de Prud'hommes de Draguignan doit rendre ce mardi sa décision concernant la requête d'une secrétaire du domaine varois du couple. Cette dernière affirme avoir été licenciée pendant son congé maladie.La décision doit intervenir dans la matinée, mettant fin à une bataille judiciaire longue de plusieurs mois. Le conseil des Prud'hommes de Draguignan se prononce ce mardi sur la plainte déposée contre Brad Pitt et Angelina Jolie par une de leurs ex-employées. En mai 2011, une secrétaire bilingue qui travaillait au domaine de Miraval, la résidence varoise du couple, avait décidé d'attaquer les stars hollywoodiennes. En cause ? Un licenciement qu'elle juge "abusif".La plaignante accuse en effet le personnel qui gère les affaires administratives du couple de l'avoir licenciée pendant qu'elle était en congé maladie, sous prétexte que son absence nuisait à la bonne marche du service auquel elle appartenait. Elle dit ne rien reprocher de particulier au couple Pitt-Jolie lui-même, avec lequel elle affirme s'être toujours bien entendue, tout en déplorant d'un autre côté qu'il n'ait rien fait pour s'opposer à son licenciement.
      Une affaire révélée en plein Festival de Cannes
      Son avocat réclame 80.000 euros d'indemnité de licenciement. "Une goutte d'eau pour ces stars", avait-il déclaré en mai 2011. L'avocat avait dit avoir sciemment choisi de rendre l'affaire publique, au moment où le couple se trouvait en France, à l'occasion du Festival de Cannes, afin qu'il ne se dérobe pas à ses obligations envers son ancienne collaboratrice. Il avait précisé que sa cliente tenait à garder l'anonymat, compte tenu des clauses draconiennes de confidentialité qu'elle avait dû signer, avant d'entrer au service des deux acteurs américains."M. Brad Pitt, qui fait le bien partout dans le monde auprès d'associations caritatives et qui adopte tant d'enfants, doit comprendre qu'il faut indemniser ma cliente le plus vite possible et que ce qu'elle réclame n'est pas la mer à boire mais la juste somme pour un licenciement abusif", avait estimé l'avocat de la plaignante.

source : LCI  youtube
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