Angelina Jolie dévoile pour la première fois la cicatrice de sa double mastectomie
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- Publié le mardi 16 décembre 2025 16:29
- Écrit par Elle
Angelina Jolie a dévoilé la cicatrice de sa double mastectomie sur la couverture de « Time France », ce 15 décembre. Angelina Jolie a choisi une image forte. Il y a douze ans, l’actrice dévoilait au grand public avoir subi une double mastectomie préventive, car, porteuse du gène BRCA, ses risques de développer un cancer du sein étaient élevés. Ce 15 décembre 2025, le magazine « Time France » a dévoilé son premier numéro, dont l’actrice fait la couverture. Et pour l’occasion, elle a décidé de dévoiler sa cicatrice en photo pour la première fois. Un choix engagé, sur lequel elle s’est confiée : « Je partage ces cicatrices avec beaucoup de femmes que j’aime. Et je suis toujours émue lorsque je vois d’autres femmes partager les leurs », explique-t-elle. Angelina Jolie s’est confiée à plusieurs reprises sur ses choix concernant sa santé, motivés par ses antécédents familiaux. En octobre 2025, elle expliquait au magazine « Hello! » : « J’ai choisi de subir cette opération parce que j'ai perdu ma mère et ma grand-mère très jeunes. » Elle avait aussi fait le choix de subir une ablation des ovaires en 2015, sa mère Marcheline Bertrand étant morte d’un cancer des ovaires en 2007. Pour « Time France », elle est revenue sur cette décision : « Lorsqu’en 2013, j’ai partagé mon expérience, c’était pour encourager des choix éclairés […] L’accès au dépistage et aux soins ne devrait dépendre ni des ressources financières ni du lieu de vie », explique-t-elle au magazine. « Les épreuves, les maladies, les douleurs font partie de notre existence, mais ce qui compte, c’est la manière dont on les affronte. Pour moi, et pour tant de femmes qui ont vécu cela, il était essentiel de rappeler que ce qui permet de traverser ces moments, c’est justement la vie. »
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source : Elle
Angelina Jolie, inquiète en matière de liberté d’expression, dit « ne plus reconnaître » les États-Unis
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- Publié le mardi 23 septembre 2025 05:14
- Écrit par Huffington post
La superstar hollywoodienne s’est exprimée en amont de la présentation à Saint-Sébastien de « Coutures », le nouveau film d’Alice Winocour dans lequel elle campe le rôle principal.Une « question difficile », pour reprendre les mots d’Angelina Jolie. La superstar hollywoodienne était de passage, ce dimanche 21 septembre, au festival de cinéma de Saint-Sébastien en Espagne, où elle a présenté le dernier long-métrage d’Alice Winocour Coutures, en compétition pour la Concha de Oro, la plus haute distinction du jury.« J’aime mon pays. Mais en ce moment, je ne le reconnais pas », a-t-elle soufflé lors d’une conférence de presse en réponse à un journaliste, qui l’interrogeait sur ses craintes actuelles en tant qu’artiste américaine. « J’ai toujours vécu à l’international. Ma famille est internationale, mes amis, ma vie », précise Angelina Jolie.Avant d’ajouter : « Ma vision du monde est égalitaire, unifiée et internationale. Tout ce qui divise ou limite l’expression personnelle et les libertés individuelles - où que ce soit - est très dangereux, à mon avis. Nous traversons une période tellement grave qu’il faut faire attention à ne pas tenir de propos inconsidérés. Nous traversons tous ensemble une période très, très difficile. » L’actrice de 50 ans n’a pas cité d’exemple, mais ses propos sur la liberté d’expression surviennent quelques jours après l’annonce de la suspension brutale du présentateur star d’ABC Jimmy Kimmel, à la suite d’un sketch accusant la droite américaine d’exploiter politiquement l’assassinat de l’influenceur pro-Trump Charlie Kirk. Une décision immédiatement saluée par l’actuel locataire de la Maison blanche, qui revendique un bras de fer avec les médias depuis son retour à la Maison Blanche, comme le préfigure aussi l’annulation très controversée du talk-show de Stephen Colbert. Une décision de CBS cet été, trois jours après que le présentateur vedette a qualifié à l’antenne de « gros pot-de-vin » le versement par Paramount (maison mère de la chaîne) de 16 millions de dollars à Donald Trump pour régler un contentieux avec la chaîne qu’il accusait d’avoir édité l’an dernier une interview de Kamala Harris pour la valoriser. Aux États-Unis, l’éviction « pour une durée indéterminée » de Jimmy Kimmel est, comme celle de son confrère, très critiquée, y compris chez certaines célébrités. À l’instar de Cynthia Nixon, star des séries Sex & The City ou And Just Like That, du créateur de Lost Damon Lindelof et de l’actrice de She-Hulk Tatiana Maslany, plusieurs ont appelé au boycott de Disney. Angelina Jolie, qui a déjà tourné dans des blockbusters du géant du divertissement (dont la suite de films autour de Maléfique), n’en a pas dit beaucoup plus. Elle était, ce dimanche, en pleine promo du nouveau long-métrage de la Française Alice Winocour, dans lequel elle campe le personnage principal.Son histoire ? C’est celle d’une réalisatrice américaine en instance de divorce qui apprend en plein tournage pendant la Fashion Week de Paris qu’elle est malade, en parallèle d’une histoire d’amour avec un collaborateur, interprété par Louis Garrel. En compétition à Saint-Sébastien, Coutures n’a pas encore de date de sortie en France.
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source : Huffington post
Angelina Jolie rejoint l’équipe de Muganga, celui qui soigne, produit par une Périgourdine
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- Publié le jeudi 4 septembre 2025 09:17
- Écrit par Vie économique
L’histoire est presque trop belle pour être vraie : l’actrice oscarisée américaine Angelina Jolie rejoint l’équipe du film français Muganga, celui qui soigne, de Marie-Hélène Roux, coécrit par Jean-René Lemoine et produit par la Périgourdine Cynthia Pinet. Le film a également reçu trois Valois lors du festival du film francophone d’Angoulême.’annonce a été faite ce jeudi 4 septembre, après une première rencontre entre l’équipe du film et Angelina Jolie. L’actrice est devenue productrice du film, et rejoint donc l’équipe du film dans son travail de promotion, qui ne fait que débuter alors que le marathon des avant-premières est en train de commencer (dont le jeudi 11 septembre prochain, à Ribérac, avec une partie de l’équipe du film).Connue pour son engagement militant de défense des droits des femmes et des enfants, Angelina Jolie a eu une première présentation du long-métrage par l’un des investisseurs du film, Canex (un fonds pour le cinéma africain d’Afreximbank). « On lui a envoyé le film, et 48 heures après nous avons eu ses premiers retours dithyrambiques, et deux jours plus tard nous nous rencontrions par zoom. Ça s’est fait tout simplement », raconte Cynthia Pinet.En rejoignant l’équipe du film, l’actrice met son nom, sa notoriété et son engagement au service de Muganga, celui qui soigne. « Pour elle, c’est un honneur de le faire. Elle connaît et travaille avec Denis Mukwege, a été à Panzy, pour elle ça faisait sens, c’est important qu’on en parle, et qu’on brise le plafond de verre. » Depuis, les téléphones n’arrêtent pas de sonner a confié la productrice périgourdine. Une victoire pour l’équipe du film qui n’a qu’un souhait : « qu’on décroche des accords de distribution à l’international et que le film soit le plus vu possible à travers le monde. » En France déjà, le film a reçu un très bon accueil lors du festival du film francophone d’Angoulême, où il figurait parmi la compétition officielle, et où il a raflé trois Valois : celui du public, des étudiants et celui d’interprétation pour Isaach de Bankolé.Des victoires inespérées pour la productrice Cynthia Pinet, à la tête de Petites poupées production. « Ça a été très difficile pendant dix ans, alors on ne s’attendait à rien, et quand, avec d’autres membres de l’équipe, nous sommes allés à la fin de la première projection, on a vu une standing ovation, jusqu’à la fin du générique, les gens pleuraient. On a senti qu’il se passait quelque chose.
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source : Vie économique
Angelina Jolie : «Les pires moments de ma vie sont liés à la célébrité »
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- Publié le vendredi 15 août 2025 08:44
- Écrit par Madame Le Figaro
Cannes, 17 mai 2025. Le festival de cinéma est sur les rails et, la veille, Angelina Jolie a remis le prestigieux Trophée Chopard à deux gloires montantes, la Française Marie Colomb et l’Anglais Finn Bennett. La superstar américaine n’est pas exactement au comble de l’aise quand des milliers d’yeux la dévisagent, mais s’acquitte de sa mission avec l’enthousiasme et le professionnalisme afférents à son statut. On la retrouve au septième étage du Martinez, dans les élégants salons de Chopard, la prestigieuse maison de luxe suisse joaillière et horlogère, partenaire fidèle du Festival de Cannes et soutien sans faille du cinéma en général. Elle porte un ensemble crème passe-muraille («Je ne suis pas à la mode», s’amuse-t-elle), et écoute très attentivement les questions qui lui sont posées.Ce qui frappe chez Angelina Jolie, ce sont ses gestes lents, son regard bienveillant qui vous fixe, sa voix douce, son élocution extrêmement posée. Le visage de la dignité. Il y a de la gravité chez elle, une vibration douloureuse perceptible, une particularité totalement atypique dans le star-système – a fortiori hollywoodien – où n’importe quel débutant prend des airs invulnérables et conquérants. Mais le star-système n’est plus, et n’a sans doute jamais été, sa priorité. Il y a longtemps que le cinéma ne suffit plus à remplir la vie d’Angelina Jolie, superstar, réalisatrice, qui consacre l’essentiel de son temps à ses activités de militante des droits de l’homme, personnalité hors norme qui semble avoir choisi le sacerdoce humanitaire qui la conduit inlassablement sur des zones de guerre.
Elle se dit «humaniste, mais internationaliste surtout.» Citoyenne du monde, à l’évidence. Angelina Jolie intrigue, fascine, déroute peut-être, mais nul ne peut remettre en cause la sincérité et la constance de ses engagements, femme de terrain qui inspecte les camps de réfugiés, prend la parole à Davos ou interpelle les institutions internationales. Elle est une activiste éminente, qui valorise l’économie locale, mais surtout encourage l’autonomie des femmes des régions défavorisées : ainsi, des ruches ont été installées au Cambodge, son pays de cœur, où elle réside en partie, siège de sa fondation, la Maddox Foundation, qui travaille par ailleurs à la préservation de l’environnement et à l’amélioration des conditions de vie des communautés rurales. Au cinéma, elle tourne peu et semble s’orienter vers des projets singuliers. Après Maria, du très auteuriste Pablo Larraín, elle s’aventure dans un film français d’Alice Winocour, Coutures (sortie le 15 octobre). Elle y joue une réalisatrice de cinéma plongée dans le milieu de la mode à l’occasion d’un tournage publicitaire à Paris, dont les fondamentaux de vie vont être revus lorsqu’un épisode dramatique survient. Elle y croise Ella Rumpf, maquilleuse qui se rêve romancière, et Louis Garrel, son assistant et amant d’un soir.
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source : Madame Le Figaro
Angelina Jolie tourne la page : la maison dans laquelle elle s’est reconstruite après son divorce avec Brad Pitt bientôt en vente
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- Publié le vendredi 15 août 2025 08:52
- Écrit par Gala
En 2017, quelques mois après sa séparation avec Brad Pitt, Angelina Jolie a emménagé dans une somptueuse maison à Los Angeles. Huit ans plus tard, l’actrice serait prête à s’en séparer.Angelina Jolie est prête à tourner la page pour de bon. En 2017, quelques mois après sa séparation avec Brad Pitt, l’actrice de 50 ans a déménagé dans une somptueuse propriété ayant appartenu au cinéaste Cecil B. DeMille. Une demeure à 24,5 millions de dollars. Selon les informations de Page Six, huit ans plus tard, alors qu’elle vient de finaliser son divorce avec la star de Fight Club, la mère de Shiloh est prête à mettre en vente cette maison à deux pas de chez son ex-mari dans laquelle elle s’est reconstruite. Et pour cause, son nid douillet doit être devenu un poil trop grand puisque la majorité de ses enfants ont quitté le nid ! Située sur un terrain de plus de 8000 mètres carrés dans le quartier de Los Feliz à Los Angeles, la maison datant de 1913 mais qui a été complètement rénové compte six chambres et dix salles de bains sur plus de 1000 mètres carrés d’espace intérieur. La propriété est également équipée d’une cave à vin, d’un salon de thé, d’une vue sur l’observatoire Griffith, de jardins à la française et d’une piscine avec des fontaines en cascade de chaque côté.En 2021, Angelina Jolie avait fait de rares confidences sur son refuge à l’édition britannique de Vogue : « J’ai ressenti une certaine pression en emménageant. Comme si je m’étais introduite dans un lieu où DeMille et [Charlie] Chaplin avaient l’habitude de se retrouver. Ce que j’aime le plus, c’est qu’il n’y a pas de salle de divertissement, mais beaucoup de sentiers et d’endroits où se promener et réfléchir. Je me sens très chanceuse que nous ayons cela en ce moment ». La vente de sa propriété à Los Angeles devrait être beaucoup plus simple que celle du château de Miraval. Depuis leur séparation, Brad Pitt et Angelina Jolie se livrent une guerre sans fin pour le domaine viticole. En 2021, la star de Maléfique a vendu sa part de 50 % à Tenute del Mondo, une filiale du groupe Stoli, sans l’accord préalable de son ex-mari, déclenchant alors une série de poursuites judiciaires. En effet, le compagnon d’Ines de Ramon accuse son ex-femme d’avoir violé un accord entre eux stipulant que ni l’un ni l’autre ne pouvait vendre sa part sans le consentement de l’autre. De son côté, l’actrice affirme que le père de ses enfants a refusé de conclure la vente de Miraval, sauf si elle acceptait une clause de non-dénigrement, visant à la faire taire au sujet des violences qu’il a pu lui faire subir. Selon US Weekly, un procès pourrait se tenir courant 2026 durant deux semaines et l’obtention de certains messages pourrait influencer l’issue de cette affaire.
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source : Gala
















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