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Ange­lina Jolie, son corps le roman de sa vie

         Des opéra­tions muti­lantes, une méno­pause préco­ce… A 40 ans, Ange­lina Jolie est une femme meur­trie dans sa chair, mais aussi une survi­vante dont la peau sert d'éten­dard.Les piqures, fran­che­ment, on pensait qu’elle en avait eu sa dose. Après une abla­tion des ovaires, une double mammec­to­mie, les trai­te­ments qui ont précédé et la pose des prothèses qui ont suivi, on aurait compris que la vue d’une aiguille ne la fasse pas exul­ter de joie. Mais Ange­lina Jolie n’est pas comme nous. Ange­lina Jolie – ce n’est pas un scoop – est hors normes.Trois autres! Trois autres tatouages viennent de rejoindre la bonne dizaine que son corps de rêve arbore déjà. A se deman­der si, à ce rythme, il lui restera un centi­mètre de peau vierge à la fin de ses jours. C’est au Cambodge, sur le tour­nage du film qu’elle est en train de prépa­rer pour Netflix, First They Killed My Father, qu’à la faveur d’un petit haut décol­leté dans le dos, on a pu décou­vrir les petits nouveaux. Ils ont rejoint le « Know your rights », phrase extraite d’une chan­son des Clash qui trône au bas de sa nuque, les inscrip­tions cambod­giennes de son omoplate gauche et le grand tigre qui surmonte son fessier jusqu’au milieu de sa colonne verté­brale. Les trois derniers ont la même carac­té­ris­tique sacrée et ethnique. L’un est un rectangle habillé d’une multi­tude de symboles thaïs, l’autre un Boud­dha en surplomb, enfin le dernier, un yant – tatouage asia­tique typique – qui s’har­mo­nise avec celui qu’elle avait déjà fait faire à la nais­sance de Maddox, son aîné, adopté au Cambodge en 2002, en vue de le proté­ger du mauvais sort. Les trois sont de la patte de Noo, un artiste reconnu de Bang­kok qui dessine à la main selon la tradi­tion, et qui lui avait tracé son premier tatouage thaï, le tigre juste­ment.
        D’au­cuns pour­ront tran­cher « Elle est piquée! » Elle l’a été. Oui, adoles­cente. Ses tatouages comme ses scari­fi­ca­tions ont long­temps été sa façon de dire son mal-être. Des tocades de rebelle envoyées à la face du monde. Aussi exal­tées qu’é­phé­mères. Qui l’ont d’ailleurs obli­gée bien plus tard à faire enle­ver le nom de Bill Bob Thorn­ton, épousé de 2000 à 2003… Mais depuis, il y a eu la rencontre avec le Cambodge durant le tour­nage de Tomb Raider, son impli­ca­tion huma­ni­taire auprès des réfu­giés et l’adop­tion de Maddox. Deve­nue ambas­sa­drice de bonne volonté améri­cano-cambod­gienne, Ange­lina vibre pour ce pays, sa culture, et n’a de cesse – entre un saut dans les camps du Darfour ou de Beyrouth – d’en­sei­gner le boud­dhisme à son fils.« Ces tatouages khmers appar­tiennent au rituel reli­gieux », nous explique la psycho­logue Cathe­rine Rioult, auteure de Ados: scari­fi­ca­tions et guéri­son par l’écri­ture (Odile Jacob). « Ce sont comme des mantras, ils ont une dimen­sion symbo­lique et spiri­tuelle. » Soit. Mais si chaque star cali­for­nienne se trans­forme en livre de priè­res… « Ange­lina Jolie est une femme du “monde” », pour­suit la clini­cienne. « Elle prend quelque chose de sacré de chaque conti­nent. » Mais de là à bousiller son corps, elle qui s’ap­pelle Jolie, elle dont la beauté est un outil de travail? « Juste­ment, elle montre là qu’elle n’est pas qu’une belle femme. Elle veut être “l’ac­trice” de son corps. A la quaran­taine, elle préfère sans doute qu’on la voie comme une cinéaste talen­tueuse, une femme qui a des ambi­tions et des inté­rêts plus profonds que sa seule esthé­tique. C’est comme si elle voulait dire 'je reprends la main sur mon corps'. Surtout après les muti­la­tions qu’elle a subies. Comme si elle tenait à se le réap­pro­prier en y faisant graver des symboles qui sont censés augmen­ter sa puis­sance. » Une histoire de magie. Une histoire Jolie.

source: Gala  youtube

Le fabu­leux exemple d’An­ge­lina Jolie

         Grâce à l’ac­trice, le dépis­tage de terrain géné­tique favo­rable au cancer est en hausse.C’est ce qui s’ap­pelle payer de sa personne. En déci­dant de subir une double mastec­to­mie en mai 2013 et surtout, en assu­mant la surmé­dia­ti­sa­tion de cette opéra­tion pour le moins intime, Ange­lina Jolie a consi­dé­ra­ble­ment servi la cause de la lutte contre le cancer du sein.Au Royaume-Uni on en parle comme de l’ «Ange­lina Jolie’s effect». Il faut dire qu’outre-Manche, les inter­ven­tions d’abla­tions préven­tives du sein chez les sujets à risque ont plus que doublé depuis 2013.En France, en 2014, plus de 55.000 consul­ta­tions en vue d’une éven­tuelle mastec­to­mie ont été effec­tuées, soit une hausse de 18% par rapport à l'année précé­dente, selon une synthèse publiée récem­ment par l'Insti­tut natio­nal du cancer (INCa).Toujours selon l’ins­ti­tut spécia­lisé, envi­ron 5% des cancers diagnos­tiqués seraient liés à des alté­ra­tions géné­tiques. Un peu plus de 80 gènes prédis­po­sant à avoir des cancers ont été iden­ti­fiés à ce jour. Certains d'entre d'eux prédis­posent plus forte­ment que d'autres à déve­lop­per des cancers. D’où l’im­por­tance pour toutes les personnes ayant un ou plusieurs cas de mala­die dans leur lignée, de consul­ter et de prendre les mesures qui s’im­posent le cas échéant. C’est la déci­sion coura­geuse qu’a­vait pris Ange­lina, soute­nue par son mari, Brad Pitt et leurs enfants, en 2013. L’an dernier, l’ac­trice avait a nouveau subi une inter­ven­tion simi­laire au niveau des ovaires, toujours à titre préven­tif. Contro­versé, le choix de l'actrice a au moins pour effet d'ampli­fier le dépis­tage et permet une prise en charge de qualité. Un exemple à suivre, donc.

source : Gala  youtube

Angelina Jolie crée la polémique au Cambodge

          Angelina Jolie est sous le feu des critiques! En effet, l’actrice a crée la polémique selon une association de défense des droits des animaux en laissant ses enfants faire une balade à dos d’éléphant lors d’un voyage au Cambodge.Angelina Jolie, pourtant très engagée dans la lutte contre le braconnage et le trafic d’ivoire, n’a sans doute pas pensé à mal en faisant cela. Et l’association ne manque pas de lui rappeler d’une façon bien sentie: «Vraiment Angelina Jolie? Vous n’avez pas entendu parler des méthodes cruelles de dressage des éléphants pour le tourisme en Asie?» Il semblerait que l’actrice n’ait en réalité pas autorisé ses enfants à pratiquer une activité qu’elle trouve cruelle et qu’elle condamne. Il s’agirait en fait d’une faute commise par la nounou des enfants. Angie clame son innocence!.

source : Journal Métro  youtube

Angelina Jolie dévoile un nouveau tatouage

           Angelina Jolie a visiblement ajouté un nouveau tatouage à sa collection. Lors de son passage au Festival International du Film du Cambodge, l’actrice-réalisatrice a dévoilé un nouveau dessin gravé sur sa peau.Angelina Jolie a un nouveau tatouage. C’est à l’occasion de son passage au Cambodge pour un festival de cinéma que la star américaine a montré ce nouveau dessin qu’elle porte sur l’intérieur de l’avant-bras gauche. D’après ce que rapporte le Mirror, ce tattoo rappelle les dessins sak yant et, chez les Boudhistes, il symboliserait la chance et une protection contre le mal. Un motif qui vient donc s’ajouter à la collection déjà impressionnante d’Angie. Rappelons en effet qu’elle porte notamment sur son corps un dragon dans le bas du dos, les coordonnées des lieux de naissance de ses enfants, une pière boudhiste, sans oublier quelques phrases comme "Know your rigts" (Connais tes droits) dans le dos et une citation de Tennessee Williams sur l’un de ses bras.

source : Au feminin  youtube

"Effet Angelina Jolie": le nombre de mastectomies doit diminuer

           Après des années de plaidoyers en faveur de la mastectomie préventive, une nouvelle étude révèle que cette intervention chirurgicale n'est pas toujours le meilleur choix, peut-on lire lundi dans Het Nieuwsblad.Pour les femmes souffrant d'un cancer du sein à un stade peu avancé, il est souvent plus adéquat de sauver la poitrine et de choisir pour la radiothérapie plutôt que pour l'amputation du sein, selon l'étude de Marissan Van Maaren de l'­Integraal Kankercentrum ­Nederland. La chercheuse néerlandaise a étudié les données de 37.207 femmes chez qui un cancer du sein à un stade précoce a été diagnostiqué entre 2000 et 2004. Les patientes qui ont subi une opération d'ablation partielle du sein avaient 21% de chances en plus d'être encore vivantes après dix ans que les femmes qui avaient opté pour une mastectomie."L'histoire d'Angelina Jolie a provoqué un pic du nombre d'amputations, mais on choisit trop souvent de manière inutile cette intervention", réagissent les médecins Rudy Van den Broecke (UZ Gent) et Jacques De Grève (UZ Brussel).Pour Rudy Van den Broecke, il vaut mieux avoir recours à une opération préservant la poitrine dans la majorité des cas, ce qui signifie de retirer la tumeur et une petite partie du sein.A l'heure actuelle, l'amputation est choisie dans 30 à 40% des cas. "Nous devons atteindre un taux de 80% de chirurgie conservatrice et 20% d'amputations", ajoute le docteur De Grève.

source : Le vif  youtube
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